Claire, pâtissière : quand la passion de la pâtisserie s’épuise derrière Canva ou Wix
Claire, pâtissière passionnée, s’épuise à bricoler son identité visuelle et son site sur Canva et Wix, réalisant qu’elle a besoin d’une solution professionnelle et fiable pour valoriser son talent.
Une passion bien réelle : la pâtisserie
Claire est pâtissière. Son atelier sent le beurre frais et la vanille. Elle adore voir les yeux de ses clients briller devant ses gâteaux. La pâtisserie, c’est son métier, sa passion, et là-dessus aucun doute : elle est douée. Elle a tout donné pour ça.
Mais dès qu’il s’agit de communication et visibilité, l’histoire change.
Le piège des plateformes : Etsy et compagnie
Comme beaucoup de créateurs, Claire a commencé sur Etsy. Mais très vite, elle a déchanté :
commissions élevées,
dépendance à un géant basé à des milliers de kilomètres,
perte de contrôle sur son indépendance.
Fatiguée de cette dépendance, elle s’est dit : « Je vais créer mon site. C’est gratuit et facile aujourd’hui ! »
Le cauchemar du site bricolé sur Wix
Résultat ? Ce « facile » s’est transformé en cauchemar.
Version bureau et version mobile qui ne s’affichent pas correctement,
images qui ne se chargent pas,
design qui s’enlaidit à chaque tentative de correction.
Claire y a passé des dizaines d’heures, pour un site qui lui ressemble de moins en moins.
👉 Ses cernes parlent plus fort que son site.
Canva, Instagram et la comparaison toxique
Alors, Claire se tourne vers Canva.
Elle bricole un logo, mais le doute s’installe :
a-t-elle le droit d’utiliser ces images ?
son nom « Claire’s Cake » est-il vraiment pertinent ?
Sur Instagram, elle y passe des heures :
à chercher les bons mots,
à observer les autres pâtissiers,
à comparer, douter et s’épuiser.
Elle rêve d’un succès à la Respire, une marque partie de zéro devenue phénomène. Mais seule, tout semble inaccessible.
Les « bons conseils » qui ne l’aident pas
Autour d’elle, chacun y va de son conseil bienveillant :
« Poste tous les jours, tu verras, ça marche ! »
« Ton site, au moins, c’est gratuit ! » (Claire s’étouffe).
« Un logo ? Tu en piques un sur le web. »
Claire a essayé. 150 heures de bricolage plus tard, le verdict est clair :
👉 ça ne marche pas.
Elle y perd son temps, son énergie, et surtout… le rendu ne reflète pas du tout son savoir-faire.
La réalité : l’épuisement
La vérité, c’est que Claire n’en peut plus. Elle est fatiguée.
Elle n’est pas graphiste.
Elle n’est pas community manager.
Elle est pâtissière.
Elle le sait : seule, elle n’avancera jamais. Mais elle a peur :
peur de se tromper de prestataire,
peur de payer trop cher,
peur d’avouer qu’elle n’y comprend rien.
Ce que Claire veut vraiment
Claire n’a pas besoin d’une solution bricolée, ni d’une « fille graphiste pour mieux se comprendre » (propos sexistes, au passage 🙄).
Ce qu’elle veut, c’est simple :
un logo qui incarne son univers,
un site clair et élégant,
des supports faciles à utiliser,
une identité solide, qui la porte et la libère.
L’exemple de Stéphanie : quand déléguer change tout
Cette histoire n’a rien de fictif. Elle ressemble beaucoup à celle de Stéphanie, fondatrice de L’Atelier Biscuits de Stéph.
Elle aussi doutait.
Elle aussi avait peur de déléguer.
Elle aussi a pensé bricoler.
Mais dès ses débuts, elle a choisi de se faire accompagner. Résultat ?
👉 Aujourd’hui, son logo et son identité sont devenus des fondations solides qu’elle déploie avec fierté et liberté.
Comme quoi, déléguer n’était pas si compliqué.
L'Atelier Biscuits de Steph
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Son cas client